25 mai : La Comtesse aux mains nues (homo-sapiens café)

23.05.2013

La Comtesse et le Comte Suzanne et René de Saint-Périer, après avoir achevé leurs travaux dans les grottes de Lespugue, où ils découvrirent la Vénus, débutèrent des fouilles à Isturitz en 1928.  Celles-ci devaient s’achever en 1958, malgré la mort du Comte en 1950. Le couple demeurait au château de Morigny, près d’Etampes, qui au décès de la Comtesse en 1978, revint à la Sorbonne.

Lespugue, Etampes, Isturitz… trois lieux, trois témoins

Entre rigueur scientifique et fièvre chercheuse, comment présenter le couple Saint Périer, figure d’une archéologie aujourd’hui révolue ?
La comédienne Corinne Lallemand s’est intéressée aux personnalités et à la petite histoire de ceux qui furent les protagonistes des premières fouilles à Isturitz ; avec une curiosité toute particulière pour le couple des Saint-Périer…  A son tour, elle a fouillé dans le passé des deux archéologues, recueilli des témoignages, des impressions…
En compagnie des chercheurs qui travaillent sur « les lieux des Saint-Périer », la comédienne nous propose d’évoquer l’histoire… mais aussi de redonner vie.
Elle mènera le jeu d’une discussion conviviale, ouverte aux échanges avec le public, rythmée de virgules poétiques, bribes de textes, anecdotes précieuses recueillies par elle auprès des « mémoires vivantes » de cette époque.

Avec la participation de Corinne Lallemand, comédienne ; Nathalie Rouquerol, responsable du musée de Lespugue ; Sylvain Duchêne directeur du musée d’Etampes, et Christian Normand responsable de recherche aux Grottes d’Isturitz.


Samedi 25 mai à 19h00

Attention, changement ! La soirée aura lieu au bar restaurant GOXOKI au bourg de Saint Martin D’Arberoue
Homo-Sapiens Café : autour d’un verre, moment convivial d’échange, auquel le public peut participer, sur un thème traité librement par des invités, qu’ils soient scientifiques ou artistes.

La veille, vendredi 24 mai 18h00, à Bayonne au Musée Basque, conférence sur les collections d’Isturitz (issues en grande partie des fouilles Saint-Périer), avec la conservatrice du Musée d’Archéologie Nationale où ces collections sont conservées et étudiées.

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